Les maisons vues comme le théâtre de la mémoire, un lieu d'enracinement des souvenirs.
La maison est notre coin du monde selon Gaston Bachelard.
Dans ces collages elle est représentée, immobile comme immémoriale.
Elle est fermée afin de garder les souvenirs en leur laissant leurs valeurs d'images.
Certaines sont collées sur des cartes faites de routes, de carrefours, plans, cadastres de nos chemins perdus.
Ces collages sont réalisés à partir de papiers triturés, déchirés, parfois brûlés et recomposés en différentes startes afin d'évoquer les traces du temps et d'être au plus près de l'image mentale du souvenir.
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